Suite à des soucis de santé, une surcharge de travail et une perte totale de motivation, le chantier n’a pratiquement pas bougé pendant 4 semaines. C’est seulement vers la mi-Mars que je m’y suis remis doucement, et encore, car mes soirées étaient souvent consacrées à mon vrai travail.
J’ai choisi d’isoler phoniquement le mur mitoyen, celui-ci donnant sur les toilettes et l’escalier de ma voisine : ce ne sera pas une très bonne isolation mais cela devrait limiter un peu le bruit.
Pour ce faire, j’ai contruit un ferraillage simple à base de fourrures et de lisses, afin de perdre le moins de place possible.