Suivi des travaux de rénovation d'une maison ancienne, au coeur de Mâcon.
Lundi 21 Octobre après quelques mois d’attente, j’ai enfin pu convenir d’une date pour l’ouverture du mur porteur entre le salon et la future cuisine/salle à manger : le Jeudi suivant !
Du coup, branlebas de combat, il fallait débarrasser au maximum la pièce et protéger les alentours car cela s’annonçait très poussiéreux comme expérience.
Aussi, Mardi soir fut consacré au rangement et au déplacement de quelques meubles. Le Mercredi soir fut quant à lui dédié au bâchage à la mode Dexter.
Le mur en carreaux de plâtre étant fini, je me suis attaqué à sa « finition » en mettant quelques couches d’enduit alternées avec un peu de ponçage, puis j’ai passé une peinture de sous-couche.
Le but étant de poser rapidement la GTL (goulotte de logement technique), puis le tableau électrique.
Il faut que j’accélère sur le déplacement du tableau électrique, car EDF devrait intervenir très prochainement (déplacement du compteur).
Pour ce faire je dois passer toute l’électricité, actuellement dans le vieux tableau, par le plafond : il faut donc que je commence à ferrailler ce dernier.
Or, je dois fixer les suspentes sur les poutres que je ne vois pas, car je ne veux pas faire tomber le plafond fait de lati (bois + plâtre).
Samedi j’ai donc profité d’être seul pour attaquer la recherche des dites poutres : au bout de 2 heures je n’avais réussi à fixer que 2 pitons et encore, dans la douleur.
Après une semaine de « repos » bien méritée, au niveau travaux tout du moins, j’ai repris la semaine dernière avec pour objectif de fermer l’ex-entrée des toilettes pas des carreaux de plâtre.
A terme le nouveau tableau électrique ainsi que le compteur EDF viendront se loger dessus.
Maintenant que l’évacuation est prête et que le sol est bien (trop ?) dégagé, il est temps de couler la chape afin de retrouver un niveau presque plat avant ragréage.
Lundi soir dernier, après avoir bien nettoyé la dalle, j’ai passé un primaire d’accrochage.
Ce week-end, vu le temps pluvieux à Mâcon, j’ai eu un peu de temps pour réfléchir à la suite des travaux et bricoler… tout en m’occupant d’Emilie. 🙂
J’ai tout d’abord attaqué le dégagement de l’électricité du mur porteur, en enlevant l’encadrement.
Après avoir cassé une partie de la chape autour de l’évacuation, j’avais découvert un trou presque béant, à peine comblé par du ciment prompt et de la laine de verre.
J’ai donc, dégagé toutes les matières friables puis entrepris de reboucher ce trou avec du béton.
Le sol n’étant pas vraiment de niveau et même surélevé là où se trouvaient les toilettes, je devais donc décaisser de 3 ou 4 centimètres par endroit.
Dimanche matin très tôt, comme ma voisine n’était pas là, j’ai attaqué le sol avec le burineur, 2 heures durant.
Mercredi soir, j’ai acheté un « vrai perfo pas cher » et une bâche. J’ai mis 1h30 à tout bien calfeutrer du côté salle à manger, afin d’éviter au maximum la propagation de la poussière dans la maison.
Jeudi soir à peine rentré et changé, je me suis enfermé dans les toilettes, et j’ai attaqué le morcelage (perçage en pointillés) de la cloison, puis son découpage durant deux heures.
A un moment, au travers d’un des trous j’ai constaté avec effroi que la bâche était tombée, sans doute à cause du souffle et de la vibration.
Voici le résultat de mon travail …
J’ai commencé à casser la cloison des toilettes du rez-de-chaussée par endroit, afin de vérifier les dimensions du plan fourni par les anciens propriétaires : comme prévu, tout est faux.
