Comme j’avais une bonne bronchite et que j’étais à la maison, je me suis dit que je pouvais poser la laine de verre… avec un masque bien sûr :-p
J’ai également placé les spots de manière à éclairer les points stratégiques de la chambre.
Chambre d’Emilie : peintures des murs et tapisserie
Après quelques séances de ponçage et « ré-enduissage » des murs, il vint le temps de passer à la sous-couche.
Le grand mur devant être d’un violet foncé, j’ai pris l’initiative de teinter la sous-couche avec une dosette : bien évidemment je n’en avais pas fait assez, du coup une partie se retrouve plus claire 🙂
Des défauts se sont révélés donc j’ai du encore enduire, poncer, sous-coucher… il réagit bizarrement ce mur pourtant en placo.
Chambre d’Emilie : préparation du plafond et des murs
Après 3 mois d’abstinence, j’ai répris le bricolage ! Le chantier se situe cette fois dans la chambre d’Emilie.
Nous avons acheté ensemble une partie du matériel (tapisserie, peinture, plafond, …) car je lui ai laissé choisir sa « déco ».
Elle tient également à participer aux travaux 🙂
Par exemple, elle m’a aidé à retirer les plinthes.
Escalier : rambarde et vitrification
J’ai profité d’une période sans Emilie pour découper la rambarde du haut, celle du bas l’étant déjà.
Escalier : plaquage des murs, enduits, peintures
Les murs d’origine étaient très abimés sous la tapisserie (comme souvent). J’ai choisi d’en plaquer certains et pour les autres je les ai nettoyés plusieurs fois, puis enduits, poncés, jusqu’à obtenir une surface quasi lisse.
Manipuler les plaques de plâtre avec le plafond en pente s’est révélé très sport, surtout avec les découpes des marches et autres angles spéciaux.
Escalier : pose du plafond
La cage d’escalier étant très haute par endroit (+ de 4,7 m) et directement sous toit, je voulais réduire la hauteur inutile, et donc le volume à chauffer, tout en isolant un peu.
Certes il y avait des poutres apparentes mais recouvertes de latti (plâtre + bois) très abimé, donc autant les cacher au final, car leur reprise serait trop laborieuse.
Seulement entre le palier, la porte de la chambre d’Emilie et les poutres en diagonale, la construction de la structure s’annonçait compliquée.
Après plusieurs jours de réflexion, mesures et dessins j’ai demandé à mon ami Sébastien, travaillant dans un cabinet d’architecte, de passer : nous avons éliminé pas mal de solutions exotiques mais sans vraiment trouver la bonne.
Escalier en bois : changement des marches
L’escalier menant à l’étage des chambres était très bruyant, certaines marches fendues et fragilisées, j’ai donc pris la décision de les faire changer.
J’ai fait faire plusieurs devis y compris pour un changement complet, mais au final faute de finances j’ai pris la solution la moins onéreuse.
Le menuisier est venu plusieurs fois pour prendre les mesures et les angles, car aucune marche n’était identique et que certaines extrémités étaient recouvertes par du placo.
Après plusieurs mois d’attente il est venu mi-juillet, pour 2 jours de chantier intensif.
Il avait commencé par le bas avant de se raviser (suivant mon conseil) : on peut voir la différence entre les nouvelles et anciennes marches, c’est plus clair !
Pergola
Afin de profiter au mieux de ma terrasse exposée sud-ouest, j’ai décidé de contruire une pergola en bois.
Après pas mal de recherche et d’études de faisabilité je me suis arrété sur un plan et des dimensions de l’ordre de 20 m² au sol.
Cependant, alors même que j’avais acheté une partie du bois, j’ai eu une illumination : ne faut-il pas demander une autorisation à la mairie ?
Hélas oui, et surtout avec un voisin un peu « embêtant » il valait mieux se couvrir.
Je vous passe la galère de la constitution du dossier, les règles hallucinantes que personne dans mon quartier n’a respectées, etc …
Au final j’ai attaqué la construction avant la validation (1 mois d’attente), mais dans leurs règles, ces dernières ayant grandement entamé mon projet (surface, hauteur).
Salon : pose du parquet et des meubles
Après que ma soeur et Sylvain soient venus m’aider à bouger les plus gros meubles, j’ai pu attaquer le lendemain la pose du parquet.
Voulant que cela soit aligné par rapport au carrelage de la cuisine, j’ai du faire de nouveaux calculs et poses à blanc. En plus je devais démarrer avec des coupes au niveau de la porte d’entrée… bref un vrai casse-tête.
Heureusement Emilie m’a aidé et à la fin de la première journée, un bon morceau était posé.
Salon : enduit béton, verrière et réagréage
Le plafond étant posé, la peinture des murs a pu reprendre : au final il aura fallu 3 couches de blanc (merci encore Laurence).
Pour le mur de la tv, j’avais choisi un enduit effet béton couleur carbone. Après une sous-couche granitée, il faut étaler ce qui ressemble à de la peinture épaisse à la spatule : il m’a fallu toute la première couche avant de prendre le coup de main et ne pas en mettre la moitié par terre. :-/
Après le séchage de la deuxième couche, on polit la surface avec de la laine d’acier pour faire briller un peu : au final cela ne rend pas trop mal, en tout cas moi j’aime bien.
On ne distigue pratiquement plus tous les supports différents (placos, murs, cloisons, coffrage) et leurs transitions qui m’ont demandées tellement de boulot…