Les murs d’origine étaient très abimés sous la tapisserie (comme souvent). J’ai choisi d’en plaquer certains et pour les autres je les ai nettoyés plusieurs fois, puis enduits, poncés, jusqu’à obtenir une surface quasi lisse.
Manipuler les plaques de plâtre avec le plafond en pente s’est révélé très sport, surtout avec les découpes des marches et autres angles spéciaux.
Sur le coté également, j’ai eu du mal à poser le grand morceau en triangle, vu la hauteur : l’avantage c’est la musculation gratuite au passage 🙂
Après avoir enlevé l’encadrement en bois, j’ai plaqué jusqu’au bord de la cloison et j’en ai profité pour déplacer l’intérupteur.
Sous la rambarde du haut également, afin de ne plus voir l’espace entre le faux plafond et l’ancien, j’ai posé des morceaux tout du long.
Pour le reste des murs j’ai rattrapé les différences d’épaisseurs à coup de plâtre et d’enduit.
Ensuite ont commencé les séances de pose de bandes, d’enduits de lissage, de ponçage, etc … qui se sont étalées sur de (très) nombreuses semaines.
Au final, le résultat était plutot pas mal, comme ici sur le bas de l’escalier. Je n’ai pas réussi à totalement rattraper l’espace entre les marches (trop courtes) et les murs, mais je trouverai sans doute une solution pour une finition plus soignée.
Il m’a fallu une bonne demie-journée pour poser le scotch et surtout la bâche plastique sur les marches afin de les protéger de la peinture.
Mais j’ai bien fait de m’appliquer car là aussi j’ai connu bien des galères, m’obligeant parfois à reponcer la couche de peinture que je venais de faire, ce qui fait que la bâche est restée beaucoup plus longtemps que prévu.
J’ai pourtant pris la meilleur peinture, le meilleur rouleau, passé jusqu’à 3 couches avec application, mais rien n’y a fait, les murs sont plein de traces de rouleau… alors que ce ne sont pas les premiers que je peins.
Note positive pour finir cet article, l’enduit béton sur le mur du haut, le même que derrière la TV : on s’est dit avec Emilie que cela pourrait couper un peu de tout ce blanc.
Il faut que je m’attaque aux rambardes, que je nettoie puis vitrifie les marches d’escaliers et j’aurai pratiquement fini ces escaliers de malheur.
Pour ce qui est des murs blancs, si un jour j’ai le courage, je tenterai une 4ème couche, mais là j’en ai marre !
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