Suivi des travaux de rénovation d'une maison ancienne, au coeur de Mâcon.
Le passage de la sous-couche a été une « formalité » hormis la protection du sol et des autres éléments (porte, fenêtre).
J’ai mis ensuite du joint acrylique tout autour des ouvrants et j’ai commencé la mise en peinture de la fenêtre et de l’encadrement de porte, couleur habituelle 😉
Comme pour le salon ou la chambre d’Emilie, j’ai opté pour un faux-plafond autoportant, mais cette fois-ci en placo et non en lambris.
La première étape a donc été de créer la structure métallique de niveau et solide.
En théorie, je devais terminer les finitions de toutes les pièces avant d’en commencer une nouvelle… mais j’ai préféré attaquer ma chambre.
Le plafond avec des dalles de polystyrène, les murs plein de coulures de peintures, les bandes de placo non terminées, ma chambre n’était vraiment pas dans un état appréciable depuis l’achat de la maison.
Les premières étapes ont été de vider l’immense penderie murale (en triant des années de fringues au passage), retirer les panneaux japonais et enfin démonter la penderie en elle-même.
Oui, j’ai réussi à coller les plinthes malgré le sol tordu et les angles nombreux, mais histoire de faire plus propre, il a fallu remplir les espaces dse jonctions avec du joint acrylique, en commençant par mettre du scotch… pendant des heures.
Comme j’avais une bonne bronchite et que j’étais à la maison, je me suis dit que je pouvais poser la laine de verre… avec un masque bien sûr :-p
J’ai également placé les spots de manière à éclairer les points stratégiques de la chambre.
Après quelques séances de ponçage et « ré-enduissage » des murs, il vint le temps de passer à la sous-couche.
Le grand mur devant être d’un violet foncé, j’ai pris l’initiative de teinter la sous-couche avec une dosette : bien évidemment je n’en avais pas fait assez, du coup une partie se retrouve plus claire 🙂
Des défauts se sont révélés donc j’ai du encore enduire, poncer, sous-coucher… il réagit bizarrement ce mur pourtant en placo.
Après 3 mois d’abstinence, j’ai répris le bricolage ! Le chantier se situe cette fois dans la chambre d’Emilie.
Nous avons acheté ensemble une partie du matériel (tapisserie, peinture, plafond, …) car je lui ai laissé choisir sa « déco ».
Elle tient également à participer aux travaux 🙂
Par exemple, elle m’a aidé à retirer les plinthes.
J’ai profité d’une période sans Emilie pour découper la rambarde du haut, celle du bas l’étant déjà.
La cage d’escalier étant très haute par endroit (+ de 4,7 m) et directement sous toit, je voulais réduire la hauteur inutile, et donc le volume à chauffer, tout en isolant un peu.
Certes il y avait des poutres apparentes mais recouvertes de latti (plâtre + bois) très abimé, donc autant les cacher au final, car leur reprise serait trop laborieuse.
Seulement entre le palier, la porte de la chambre d’Emilie et les poutres en diagonale, la construction de la structure s’annonçait compliquée.
Après plusieurs jours de réflexion, mesures et dessins j’ai demandé à mon ami Sébastien, travaillant dans un cabinet d’architecte, de passer : nous avons éliminé pas mal de solutions exotiques mais sans vraiment trouver la bonne.
Car il faut bien mettre un point final parfois, voici donc les dernières étapes concernant la salle de douche.
Tout d’abord, j’ai posé le sol vynil : une vraie galère dans un espace aussi petit et avec tant de coupes et d’angles non-droit.
Pour l’occassion j’avais vidé toute la pièce (encore).
