La cage d’escalier étant très haute par endroit (+ de 4,7 m) et directement sous toit, je voulais réduire la hauteur inutile, et donc le volume à chauffer, tout en isolant un peu.
Certes il y avait des poutres apparentes mais recouvertes de latti (plâtre + bois) très abimé, donc autant les cacher au final, car leur reprise serait trop laborieuse.
Seulement entre le palier, la porte de la chambre d’Emilie et les poutres en diagonale, la construction de la structure s’annonçait compliquée.
Après plusieurs jours de réflexion, mesures et dessins j’ai demandé à mon ami Sébastien, travaillant dans un cabinet d’architecte, de passer : nous avons éliminé pas mal de solutions exotiques mais sans vraiment trouver la bonne.
Au final, j’ai mis 3 bonnes soirées à tracer les angles, parfois en équilibre sur une échelle, et petit à petit j’ai monté la structure en ferraille.
Elle se compose de 4 pans, une vraie oeuvre d’art 🙂
J’ai également placé les câbles pour le nouvel éclairage, avant de poser la laine de roche.
Pour la pose des principales plaques, j’ai reçu l’aide de Cécile (Passe-Placo hihi), qui du haut de ses 1m53 a réussi à m’aider brillamment.
Le plus dur a été de placer celles dans le « vide », mais finalement à part 2 ou 3 coupes un peu ratées à cause des nombreux angles, cela s’est bien terminé.
Maintenant, je vais attaquer le plaquage de certains murs/cloisons, la reprise des plâtres des autres, puis la pose des bandes à joint.
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