La pose des 36 premiers carreaux n’a pas été trop difficile, si ce n’est le peu de place dans la douche pour bouger et la baguette d’angle à placer.
Si j’avais fait ma cloison 5 mm plus longue je n’aurai pas eu à faire des découpes pour ceux d’angles.
Après avoir cassé quelques carreaux avec la carrelette, le retrait étant trop petit, je me suis résolu à en faire plusieurs à la meuleuse.
Au final le rendu n’est pas mauvais.
Parallèlement, j’ai retiré une partie du parquet pour le poser correctement et combler les trous proches de la cloison : n’ayant pas de scie sauteuse, j’ai du tout faire à la scie à bois, un vrai bonheur quand on a une tendinite chronique.
Pour la découpe de l’évacuation (ronde) ce fut sport également, mais cela tombe pile-poil.
Ensuite j’ai terminé les coupes de carrelage par les petits bouts manquants entre le bac et le reste.
J’ai même tenté un L…
… qui a cassée à la pose, bien sur 🙂
J’ai du utiliser des cales improvisées avec des bouts de cartons afin de respecter au mieux l’espace des joints. Ce n’est pas parfait, mais cela fait plaisir d’en terminer avec ça.
Enfin, il a fallu passer aux joints : j’avais acheté un sac de poudre, mais une fois la moitié des joints remplis (une matinée), je me suis rendu compte que le rendu était granuleux et pas du tout esthétique pour une douche.
J’ai donc tout gratté (une heure) et j’ai acheté de la pâte toute prête spéciale.
Comme j’étais crevé de toutes ces heures pour rien, c’est Maryline qui a pris le relais aujourd’hui.
Là non plus ce n’est pas parfait, mais je ne pense pas avoir pu faire mieux qu’elle : l’important est que cela soit étanche 😉
Il ne restera que le carreau devant l’arrivée d’eau des toilettes : je le comblerai une fois l’installation testée.
La suite, c’est le raccordement des évacuations en dessous, le ponçage et la peinture des murs, la pose du « lino » et de la porte de douche, sans oublier le déplacement du lavabo.
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