Il faut que j’accélère sur le déplacement du tableau électrique, car EDF devrait intervenir très prochainement (déplacement du compteur).
Pour ce faire je dois passer toute l’électricité, actuellement dans le vieux tableau, par le plafond : il faut donc que je commence à ferrailler ce dernier.
Or, je dois fixer les suspentes sur les poutres que je ne vois pas, car je ne veux pas faire tomber le plafond fait de lati (bois + plâtre).
Samedi j’ai donc profité d’être seul pour attaquer la recherche des dites poutres : au bout de 2 heures je n’avais réussi à fixer que 2 pitons et encore, dans la douleur.
On remarquera les nombreux essais qu’il m’aura fallu, les poutres datant d’avant 1930, il y avait peu de chance qu’elles soient posées régulièrement tous les 50cm, hélas.
Dans l’après-midi, ayant enfin trouvé une technique efficace à base de plantage de long clou, traçage au fil, préperçage, scie cloche et autres joyeusetés, j’ai réussi à poser 39 pitons supplémentaires.
Dimanche, grâce au laser j’ai gagné énormément de temps pour repérer les coupes des tiges filetées.
J’ai tout d’abord tenté de les couper avec la meuleuse, mais le disque était tellement abimé que je me suis résigné à le faire à la main (scie à métaux) et sur place (80 cm du sol) : ça fait les muscles !
Je n’ai pas préparé tout le plafond faute de temps et aussi car je me suis concentré sur la partie (3 mètres) immédiatement au dessus du tableau électrique.
J’ai arrêté là pour l’instant, car il faut maintenant que je pose la GTL (goulotte technique de logement) et le nouveau tableau sur le mur de carreaux de plâtre.
Pour cela, je dois d’abord enduire puis peindre rapidement le support et ensuite seulement je déménagerai (ndlr : câbler, démonter, gainer, coffrer, …) tout le contenu de l’ancien tableau.
Ma mère est venue hier pour m’aider : outre la réalisation du repas du midi, elle a javellisé puis peint avec de la peinture anti-humidité le bas des murs où j’avais découvert un peu de moisissure.
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